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Guy Fournier se porte à la défense de Louise Sigouin et critique vivement l'enquête du Devoir
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Guy Fournier se porte à la défense de Louise Sigouin et critique vivement l'enquête du Devoir

La sexologue aurait failli à son code de déontologie.

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Après que Le Devoir eut révélé que la sexologue de Si on s'aimait Louise Sigouin faisait l'objet d'une enquête par l’Ordre professionnel des sexologues du Québec, Guy Fournier s'est porté à sa défense. 

Dans sa chronique publiée mardi dans le Journal de Montréal intitulée Louise Sigouin au temps des trolls, le chroniqueur critique le travail du Devoir en mettant entre guillemets les mots « grandes enquêtes » sur de « petits scandales ». 

« Sur la foi des récriminations de quatre personnes ayant participé à l’une ou l’autre des trois saisons du docu-réalité diffusé à TVA, Le Devoir a fait la manchette de sa première page et consacré une autre page entière à cette « affaire » sur laquelle se pencherait actuellement l’Ordre des sexologues du Québec », écrit-il. 

Comme arguments, Guy Fournier plaide que Si on s'aimait est de la « très bonne télévision » et avoue en être « vite devenu accro » après que des amis lui eurent conseillé de regarder l'émission. « Ils ne tarissaient pas d’éloges sur le concept et sur la sexologue Louise Sigouin. "La série, m’assuraient-ils, les éclaire sur leur comportement amoureux et sur leur relation conjugale". Si quelqu’un a besoin d’être éclairé sur sa relation conjugale, c’est bien moi ! », ajoute-t-il. 

Selon lui, les propos de la sexologue ont toujours été « sages et mesurés ». « À aucun moment, je n’ai eu l’impression qu’elle abusait de son pouvoir ou s’ingéniait à faire mal paraître les participants ». 

Il a toutefois critiqué les interventions d'Émily Bégin et de Guillaume Lemay-Thivierge. Selon lui, leurs commentaires sont souvent « intempestifs et presque toujours inutiles ». 

Guy Fournier estime que, comme l'Ordre des sexologues enquête, « on trouvera à redire ». « Les ordres professionnels ne sont pas très tolérants avec leurs membres qui sortent du rang et deviennent des vedettes. Leurs collègues encore moins », affirme-t-il. 

Dans l'article du Devoir, les quatre anciens concurrents qui ont pris la parole n'ont pas dévoilé leur identité étant donné que le contrat qui les lie à la production leur interdirait de prendre la parole sur l'émission. Selon Guy Fournier, le contrat ne va pas assez loin. « Le contrat devrait aussi interdire aux participants de parcourir les réseaux sociaux durant toute la durée de la série, car c’est précisément le type d’émission contre lequel se déchaînent les trolls », dit-il. 

Ainsi, selon lui, les problèmes des anciens candidats découleraient plutôt de l'avalanche de commentaires sur les réseaux sociaux. « [Ils] doivent savoir qu’ils seront les proies privilégiées des innombrables trolls qui polluent les réseaux sociaux. Contre ces têtes brûlées, l’Ordre des sexologues ni personne ne peuvent rien. »