Mélissa Bédard partage une rare photo de toute sa famille recomposée

On sait que Mélissa Bédard a six enfants à la maison avec son conjoint. Si on doute que le fait d'avoir autant de monde sous un même toit doit mettre de l'action dans le quotidien, on a maintenant un visage sur chacun des membres de la famille du clan Fortier Bédard.

La chanteuse et comédienne a fait plaisir à ses abonnés en partageant une rare photo de toute sa maisonnée sur les réseaux sociaux, mercredi. L'image a été croquée sur le vif par la photographe Nathalie Godin. 

« Quand tout s’arrête , il me reste la famille. Une famille parfaitement imparfaite 💜 Je vous aime. Merci encore une fois @nathaliegodinphotographe d’avoir immortalisé le moment présent 🥰

La famille Fortier Bédard vous souhaite beaucoup d’amour ♥️ #famille #family #famillia #fashion », a écrit Mélissa Bédard sur son compte Instagram en légende sous la photo. 

Rappelons que Mélissa Bédard a aussi récemment confié qu'elle espère agrandir sa famille en ayant un autre enfant. 

Le mois dernier, la chanteuse et comédienne a également lancé un documentaire sur la grossophobie, J't'aime gros,  en compagnie de l'humoriste Christine Morency. 

« Que les personnes grosses sont la cible de préjugés depuis très longtemps et qu’on associe parfois automatiquement leur poids à de la lâcheté, à une mauvaise santé, à un manque de volonté. Qu’on les juge sans connaître leurs histoires et sans se soucier de l’impact que ça peut avoir sur elles. On voulait parler de leur réalité parfois difficile, sans chercher à choquer, mais en disant les vraies choses », a-t-elle expliqué au magazine 7 Jours. 

« Je crois que le phénomène de la grossophobie existe dans notre culture depuis longtemps, et on ne s’est jamais souciés du fait que ça pouvait être un problème. Il n’y a pas si longtemps encore, les femmes portaient des corsets, c’était important d’avoir l’air mince. Beaucoup de gens ne réalisent pas qu’ils ont des préjugés sur les personnes grosses. L’idée n’est pas de taper sur la tête de qui que ce soit, mais de faire prendre conscience du problème et de son étendue. Même moi, j’ai déjà eu des pensées grossophobes; je suis déjà passée à côté d’une femme en me disant: «Ouin, elle est bien plus grosse que moi!» J’ai envie d’inciter les gens à aller à la rencontre de l’autre avant de le juger sur son apparence », a-t-elle poursuivi.