Antoine Bertrand fait une révélation surprenante sur les policiers et Marie-Louise Arsenault n'en revient pas

Antoine Bertrand est toujours un invité en or lorsqu'il accepte de se livrer en entrevue. Et cette semaine, c'est à l'excellente émission Dans les médias, diffusée sur les ondes de Télé-Québec, qu'il sera l'invité de Marie-Louise Arsenault.

Un premier extrait a été partagé sur les médias sociaux, mercredi avant-midi, pour mettre la table en vue de l'entretien qui sera diffusé mercredi soir à 21 heures. Et déjà, on a une bonne idée du ton de la rencontre entre ces deux poids lourds du show-business québécois. La vidéo se trouve plus bas dans l'article.

Marie-Louise Arsenault a questionné son invité à savoir si le fait d'être une vedette avec beaucoup de notoriété et une immense popularité venait avec des avantages.

« De pas passer d'auditions, c'en est un. Très rarement. Alors que j'adore auditionner. Mais je ne suis pas dupe. Je sais très bien que moi, si je vais en audition, à talent égal je pars avec deux ou trois longueurs d'avance. Parce que j'ai une feuille de route et j'ai une popularité.

C'est sûr que c'est plus dur pour un inconnu d'aller décrocher le même rôle. Mais même quand je n'étais pas connu j'aimais ça auditionner parce que j'ai toujours pris ça pour ce que c'était, c'est à dire une rencontre et un échantillon de travail. Mais ça donne des avantages, c'est sûr! »

C'est à ce moment que le comédien y va d'une révélation qui a pris par surprise l'animatrice.

« Il y a bien des contraventions qui ont été données à cause de ma face. Fait que quand quelqu'un vous dit - je le sais parce que j'en ai payé beaucoup des tickets quand je roulais en bazou et que je n'avais pas une cenne, et que je plaidais en disant monsieur, vous ne savez pas à quel point vous allez me mettre dans la m*rde si vous me donnez ce billet-là, et qu'ils me répondaient qu'ils ne pouvait pas faire ça... Ils peuvent! »

Voici l'extrait en question:

L'émission Dans les médias nous offre semaine après semaine des entrevues percutantes qui suscitent des discussions extrêmement intéressantes sur l'industrie des médias, de la télévision et du cinéma.

La semaine dernière, Luc Dionne y était allé d'une attaque en règle contre le système de financement actuel qui ne prend pas assez en compte l'avis des créateurs.

« Cette industrie-là, c'est une industrie de producteurs. C'est pas une industrie de créateurs! Et ça ça me rend fou! Autant en cinéma, autant en télévision. En cinéma, la SODEC n'est pas intéressée à parler aux auteurs. Ils veulent parler au producteur. Et ils vont rencontrer le réalisateur et l'auteur fois, quand tu vas venir pitcher. Tout ça c'est bâti par des producteurs...partez-moi pas là-dessus! »

Voici un extrait de l'entrevue en question:

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