Hugo Dumas critique fortement l'attitude d'Audrey à Occupation Double dans l'Ouest
Il n'est pas le seul.
Monde de Stars
S'il se réjouit de la victoire d'Inès et Stevens finale à Occupation Double dans l'Ouest, Hugo Dumas n'a pas mâché ses mots concernant le comportement d'Audrey dans la dernière semaine de l'émission.
Dans sa chronique intitulée L'amour existe encore publiée lundi matin dans La Presse, il écrit noir sur blanc ce que bien des internautes ont déjà exprimé sur les réseaux sociaux.
Ainsi, il ne s'est pas surpris du tout de voir la relation entre Audrey et Frédérick battre de l'aile durant la grande finale. « Nous, fans de Lady Pagaille, connaissions déjà la personnalité cassante et bitch d’Audrey, 31 ans, représentante de produits de beauté de Montréal. Mais pas Fred, 24 ans, qui a découvert cet aspect désagréable en République dominicaine devant un Jay Du Temple affublé d’un kit de toréador fleuri. Mettons que ça lui a refroidi le coup de soleil (et le coup de foudre). Il y avait de la tension, attention, sur le catamaran », a-t-il noté.
Il ajoute que le fait qu'Audrey ait menacé de s'en aller la semaine dernière et qu'elle ait critiqué autant le couple formé par Robin et Marilou lui a nui, en lui faisant perdre « énormément de points ».
« Audrey, Audrey, ma belle. OD est un jeu et il faut en accepter les règles, mon amour, serait-on tenté de lui dire en empruntant son ton faussement compatissant », ironise le chroniqueur.
Hugo Dumas trouve cela dommage pour Fred, qui a donné un bon spectacle durant son aventure, ce qui lui a fait remporter le prix du coup de coeur du public.
S'il ne confirme pas que le tandem formé par Fred et Audrey a rompu, il fait également état de la rumeur comme quoi les deux tourtereaux ne sont plus ensemble depuis leur voyage à Punta Cana.
Le chroniqueur estime également que la saison complète ne sera pas celle qui a connu le plus de bisbille. « La multiplication des twists a cependant eu un effet non prévu : au lieu de diviser les concurrents et de créer de la chicane, les revirements les ont plutôt rapprochés. Comme si les joueurs s’étaient ligués pour affronter la production », a-t-il observé.
Lisez sa chronique complète ici.