L'équipe de STAT dévoile une information importante au sujet de la nouvelle émission

C'est lundi soir que débutait la nouvelle série STAT sur les ondes de Radio-Canada. On le sait, le diffuseur public mise beaucoup sur cette quotidienne qui se déroule dans le monde hospitalier et qui occupe désormais la case-horaire laissée vacante par District 31.

On a eu droit à un premier épisode d'une heure, lundi soir, qui nous a permis de découvrir les personnages principaux et l'univers de l'hôpital Saint-Vincent. Si la distribution fait place à de nombreux visages connus - Suzanne Clément, Geneviève Schmidt, Patrick Labbé, Ludivine Reding, Virginie Ranger-Beauregard et Stéphane Rousseau pour ne nommer que ceux-là - on a été surpris et touchés de savoir de quelle façon l'équipe de production avait décidé que l'hôpital porterait le nom de Saint-Vincent.

Voici ce qui a été publié, lundi, sur la page Facebook de STAT:

« Quand on écrit une série qui se déroule dans un hôpital, il vient un moment où il faut trouver le nom dudit hôpital. Ce n'est pas toujours simple, on cherche, on réfléchit et parfois l'histoire personnelle d'un membre de l'équipe nous fait réaliser que le nom que l'on cherchait, c'est celui-là, et rien d'autre. L'hôpital Saint-Vincent, celui de STAT, a été nommé ainsi en mémoire du fils de notre directeur artistique, André Chamberland, dont le fils Vincent est décédé de la leucémie, il y a plusieurs années. »

Quelques problèmes lors de la première

En faisant une analyse tout sauf scientifique des commentaires laissés sur les médias sociaux suite à l'épisode diffusé lundi soir sur les ondes d'ICI Télé, on remarque rapidement que les téléspectateurs ont grandement apprécié leur première rencontre avec cette nouvelle proposition télévisuelle.

Par contre, de nombreux internautes ont noté quelques problèmes techniques, notamment au niveau de la prise de son et de l'articulation de certains comédiens qui a fait qu'on a avait de la difficulté à saisir certains des dialogues. Voici d'ailleurs certains commentaires laissés à ce sujet:

« J’adore déjà #STAT ! Ça s’annonce enlevant. Seul mini bémol : la prononciation et l’articulation de certain.nes comédien.nes, qui rendent quelques répliques difficiles à comprendre. Pour le reste, c’est nickel, vraiment. »

« Je trouve que la musique embarque trop sur les dialogues , j’en perd des bouts, suis je seul #stat »

« Va falloir corriger la diction et la prise de son. On entend difficilement ce que dit le jeune urgentologue. Indéfendable : 1 STAT : 0. »

Une autre critique qui est revenue à plusieurs reprises est au niveau du réalisme de certaines des situations. De nombreux téléspectateurs oeuvrant dans le domaine de la santé ont relevé des éléments qui ne reflétaient pas du tout ce que l'on observe dans la vraie vie.

Voici quelques uns des commentaires laissés à ce sujet:

« Un peu,beaucoup déçu. Trop irréaliste. De bons comédiens. Mais le jeu est too much. Beaucoup de manque au niveau médical. Les termes et leur rôle. Dommage. En espérant que ça va s'améliorer. »

« Bonjour! Aviez-vous de vraies infimières d'urgence comme consultantes pour #STAT ? Juste de même, aucune inf chef ne donne des pilules à des patients. Les urgentologues ne vont pas au bloc opératoire. Un pt en coma est hospitalisé aux SIC. Bonne saison! »

« OMG! Un DSP à l'urgence qui frappe un client. Je sais que c'est de la fiction mais c'est trop ridicule. Une inf qui donne un diagnostic de psy à un mari violent. Il faudra plus de crédibilité pour que je sois fidèle. #stat »

« Je veux rassurer les gens: si vous arrivez à l'urgence avec une fracture ouverte, vous serez installé sur une civière, aurez un soluté et recevrez analgésie et sédation avant que ne soit tentée une réduction, qui se fera sans doute hors de l'urgence, après évaluation et imagerie. »

On vous laisse avec la bande-annonce de l'épisode qui sera diffusé mardi soir sur les ondes d'ICI Télé, encore une fois en formule spéciale d'une heure.