André Arthur à propos de Jean Lapierre: “ Voulez-vous ben arrêter de brailler? ”
Des commentaires très douteux!
Monde de Stars
Ce n'est pas la première fois que l'animateur de radio André Arthur suscite la polémique avec ses propos, mais voilà que cette fois-ci, il s'est décidément montré sans pitié à l'égard du traitement médiatique entourant le décès de Jean Lapierre.
En effet, c'est pendant son émission « Arthur le midi » sur les ondes de CHOI Radio X que l'animateur a tout d'abord débuté en affirmant que Jean Lapierre était « ben fin », mais qu'il n'était pas irremplaçable.
L'animateur a ensuite poursuivi en disant : « Voulez-vous ben arrêter de brailler? ».
Dans les minutes qui ont suivi cette introduction choc, André Arthur a sévèrement critiqué le professionnalisme des journalistes qui ont couvert le décès de Jean Lapierre, tout en pointant particulièrement ses flèches en direction des employés de TVA.
Parmi ceux et celles qu'il a écorchés, on y retrouve donc Denis Lévesque, dont le travail a été qualifié par Arthur « d'exemple pathétique de manque de professionnalisme navrant ».
Voici maintenant quelques extraits de cette montée de lait impitoyable de la part de l'animateur :
« Les gens qui ont fait des bulletins de nouvelle avant-hier en sachant que monsieur Lapierre était mort, mais en ne le disant pas, ont prostitué leur profession, ont vendu leur éthique. Si t'avais rien à dire, ferme ta gueule. »
En parlant de l'annonce du décès de John F. Kenedy par le lecteur de nouvelles Walter Cronkite : « C'est le plus proche que j'ai vu quelqu'un de professionnel perdre les pédales devant une caméra jusqu’à ce que je vois les nounounes de TVA et de Cogéco faire des entrevues avec des sièges vides pour marquer le départ de leur ami. »
« C'était un professionnel dont la job consistait à memérer sur la politique. Il était une excellente memére. »
« Quand vous voyez un gars comme [Denis] Lévesque à TVA se mette à brailler alors qu'il est payé pour nous dire les vraies affaires, la nature des choses, y a personne qui dit : ''Heille, prends donc une semaine de vacances innocent.'' »