Sophie Durocher reçoit des menaces et porte plainte à la police

Sophie Durocher a décidé de porter plainte après avoir reçu des menaces sur les réseaux sociaux. La chroniqueuse a également révélé dans le Journal de Montréal que, le 2 août dernier, un homme a écrit qu'elle méritait « d'être giflée si fort qu'elle tombe dans le coma pour une couple d'années ».

La chroniqueuse estime qu'elle se s'est jamais « sentie aussi attaquée, intimidée ». 

Ce n'est pas la première menace qu'elle reçoit. En mai dernier, un autre internaute lui a écrit qu'il espérait qu'elle se fasse « violer et lacérer ». Ces propos l'ont convaincue de se rendre au poste de police pour porter plainte contre l'individu, qui s'est fait avertir qu'en cas de récidive, il serait accusé au criminel. 

Sophie Durocher souligne la montée de la haine envers les journalistes et les gens des médias.

D'ailleurs, elle souligne qu'un autre homme a menacé une journaliste de La Presse et qu'il sera de son côté accusé de menaces et de harcèlement. Cet homme, tout comme celui qui a menacé Sophie Durocher, sont tous les deux contre les vaccins, précise-t-elle. 

Concernant l'homme qui lui souhaite de tomber dans le coma, Sophie Durocher a également porté plainte à la police. « Ces gens doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas dire ce qu’ils veulent, derrière leur clavier », espère-t-elle. 

« Il ne faut pas sous-estimer l’impact sur les journalistes et les chroniqueurs que vous lisez tous les jours des menaces dont ils sont la cible », conclut Sophie Durocher. 

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