Sophie Durocher dit sa façon de penser aux antimasques qui critiquent Laurence Jalbert

Alors que Laurence Jalbert a eu le courage de témoigner sur la violence conjugale qu'elle a subie durant 11 ans, la chanteuse a malheureusement été la cible de personnes antimasques concernant sa position sur les mesures sanitaires. Cela n'a pas manqué de faire réagir Sophie Durocher, dans une chronique publiée mercredi dans le Journal de Montréal.

La chroniqueuse ne mâche pas ses mots dans sa chronique intitulée Foutez la paix à Laurence Jalbert! 

« Je n'en reviens pas »< écrit-elle d'emblée. « Alors qu’elle multiplie les entrevues pour sensibiliser à la cause, Laurence Jalbert se fait varloper par les anti-masques ! Son crime ? Elle a osé se prononcer en faveur du port du masque chez les jeunes. Elle a osé dire qu’elle ne voulait pas que ses petits-enfants contractent la COVID, la lui transmettent et la fassent mourir.  », ajoute-t-elle en faisant référence à l'entrevue donnée par la chanteuse dimanche dernier à Tout le monde en parle. 

Elle pointe du doigt les antimasques et les accuse ensuite d'intimidation et de harcèlement, soit, exactement ce que lui faisait subir l'ex de la chanteuse.« Heu, si vous n’êtes pas d’accord avec la position de quelqu’un, ça ne vous tente pas de débattre, d’argumenter, ou même de piquer une jasette, tout simplement ? », dit-elle. 

La chroniqueuse dénonce ensuite haut et fort les propos d'Annie Dufresne écrits sur Facebook. 

« Elle a interpellé Laurence Jalbert en la traitant de... Oh, vous savez quoi ? Je ne vais même pas reproduire ici ses attaques de bas étage. Sa diarrhée verbale était bourrée d’insultes et de fautes d’orthographe », souligne Sophie Durocher. 

« Relis-toi, Annie, avant de cracher ton venin sur une femme qui vient de raconter le calvaire qu’elle a subi aux mains d’un pervers narcissique pendant onze ans ! Venant d’Annie Dufresne, plus rien ne m’étonne. Cette starlette s’en était prise quelques heures auparavant à la comédienne Julie Le Breton. Son crime ? Elle s’était fait photographier en se faisant vacciner », ajoute la chroniqueuse. 

« Mais avant d’être anti-Laurence Jalbert, ils devraient peut-être se rappeler que, la seule raison pour laquelle la belle Gaspésienne est dans les médias, c’est pour dénoncer la violence. Pas pour en subir. Encore », conclut-elle. 

Lisez sa chronique complète ici.