Restez au coeur des nouvelles du showbiz québécois

Inscrivez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer des potins et actualités sur nos célébrités

En cliquant sur "Je m'inscris", vous acceptez de recevoir notre infolettre et vous acceptez notre politique de confidentialité. Vous pouvez vous désinscrire en tout temps.
Monde de Stars

Patrick Huard donne de nouveaux détails sur le Bye bye dont il va faire partie cette année

Il avait déjà été au coeur d'un sketch controversé en 2003

Monde de Stars

Monde de Stars

Alors que l'année 2022 se termine dans quelques jours à peine, la traditionnelle revue de fin d'année, le Bye bye, reste une émission très attendue pour le soir du 31 décembre. Patrick Huard, qui s'est joint à la distribution cette année, a fait quelques confidences à La Presse sur ce qui s'en vient. 

Il confie être un peu nerveux, mais surtout en ce qui a trait à « personne ne souhaite faire un mauvais Bye bye », dit-il au quotidien montréalais. Rappelons qu'il avait campé Pierre Karl Péladeau/Séraphin Poudrier en 2003 et cela avait finalement fait en sorte que l'auteur du sketch, Louis Morissette, avait été barré des entreprises du grand patron de Québecor.

Il avait un critère très important pour personnifier des personnalités. « Si je n’ai pas hâte de montrer un sketch à la personne que j’incarne, je ne le fais pas », a-t-il dit. Toutefois, sa règle de conduite exclut les politiciens, car, « eux, souvent, le méritent ». 

« On peut se tromper, on n’est pas infaillibles, mais les gens veulent qu’on prenne des risques. Si on est trop pépères, on va se le faire dire, si on va trop loin, on va se le faire dire. C’est comme en F1 : tu veux que le pilote passe le plus proche possible du mur. Même que, parfois, le monde ne déteste pas ça, un petit crash », dit-il. 

Il n'est pas de ceux qui croient qu'on ne peut plus rien dire. « Si tu vas sur les médias sociaux, tu vas croire que l’ensemble de la population pense que ceci ou cela ne se dit pas, mais, dans la rue, ce n’est pas ce qui se passe. La liberté d’expression des humoristes n’a pas changé ; il y a juste des gens qui ont levé la main pour faire valoir qu’il y a une façon de dire les choses qui les blessent, et c’est correct », souligne Patrick Huard, toujours en entrevue avec La Presse.

« Quand tu ne parles pas de quelqu’un ou d’un groupe, en humour, tu l’ostracises, tu penses qu’il est trop fragile. Si tu as de la tendresse pour la personne dont tu te moques, je pense que tout peut passer », précise-t-il. 

Articles recommandés:

Source: La Presse