Le producteur de Tout le monde en parle révèle un détail important concernant Philippe Bond
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Monde de Stars
La saga Philippe Bond continue de faire couler énormément d'encre et plus la journée avance et plus les langues se délient. On savait que de nombreuses rumeurs couraient depuis des années au sujet des agissements de l'humoriste, mais on réalise que les choses étaient encore pires que l'on imaginait.
Dans un message publié sur Twitter, le producteur Guillaume Lespérance, qui est notamment derrière Tout le monde en parle, le Bye Bye et Bonsoir Bonsoir a révélé une information révélatrice au sujet de Philippe Bond.
Voici le message que Guillaume Lespérance a publié sur son compte Twitter, jeudi matin:
« Ça fait PLUSIEURS années que je refuse d’avoir Philippe Bond sur mes productions. L’article de ce matin explique cette décision. Courage aux victimes et respect aux journalistes »
Si Guillaume Lespérance était au courant des rumeurs qui circulaient au sujet de Philippe Bond depuis plusieurs années, on peut supposer que les autres producteurs de l'industrie avaient eux aussi entendu parler des frasques de l'humoriste et animateur.
Et ceux qui continuaient à lui donner du travail auront inévitablement des réponses à donner.
L'humoriste Virginie Fortin a elle aussi profité des plus récents développements pour parler des rumeurs qui couraient au sujet de Philippe Bond depuis des années déjà.
Dans une série de stories publiées sur son compte Instagram, l'humoriste Virginie Fortin a commenté l'affaire, en ressortant une photo datant de 2016 sur laquelle elle apparait aux côtés de trois personnalités publiques déchues: Gilbert Rozon, Éric Salvail et Philippe Bond.
« Beaucoup de gens me demandent si la question c'est un montage, déclare Virginie Fortin dans sa story Instagram. Ce n'est pas un montage, malheureusement, j'ai vécu cet après-midi de radio de 2016. À l'époque, je trouvais Gilbert creep, il y avait des rumeurs au sujet d'Éric, mais Phil, je le trouvais vraiment juste douche.
C'est juste l'année d'après que les rumeurs ont commencé à circuler dans le milieu, et, ben...les producteurs ont continué d'engager Phil Bond! »
Voici la séquence en question:
Sur les médias sociaux, les réactions sont nombreuses depuis la parution de l'enquête de La Presse, signée par les journalistes Patrick Lagacé et Charles-Éric Blais Poulin. Si certains rappellent que Philippe Bond ne fait face à aucune accusation criminelle, l'énorme majorité des commentaires souligne plutôt à quel point les gestes décrits dans l'article sont ignobles et à quel point les victimes qui ont accepté de témoigner ont fait preuve d'un immense courage.
Philippe Bond a réagi, tôt jeudi matin, en publiant le message suivant sur son compte Instagram:
« Suite à l'article de La Presse qui est paru aujourd'hui, je suis atterré par ce que je viens de lire. je ne reconnais pas la personne qui est décrite dans cet article.
Par respect pour mes collaborateurs et mes employeurs qui me côtoient depuis des années et parce que je veux leur éviter de devoir répondre à une avalanche de questions des journalistes, je me retire de tout, autant de la vie publique que de la radio et des spectacles.
Je dois protéger et prendre soin de mes proches, mais surtout je dois être là pour mes enfants et ma femme. Penser à ce qu'ils auront à traverser avec moi me bouleverse, car il n'y a rien de plus important pour moi qu'eux. »
Rappelons que Philippe Bond avait d'abord nié catégoriquement les faits, la semaine dernière, lui qui avait publié le message suivant sur les médias sociaux:
« Depuis les dernières années, de nombreux témoignages racontant des histoires terribles ont circulé. Aucune victime ne mérite ce qu’elle a vécu et malheureusement il y a beaucoup d’autres histoires graves qui demeurent dans l’ombre.
Il y a aussi une fausseté qui circule à mon sujet, rendue publique par un humoriste récemment.
Aujourd’hui je me lève et je crie haut et fort mon innocence. Toutes les relations que j’ai eues ont été consentantes, JAMAIS je n’ai été un agresseur, JAMAIS je ne le serai et je n’accepterai JAMAIS d’en être accusé sans me défendre.
Vous comprendrez donc que je n’ai d’autre choix que d’entamer des procédures légales. »
On vous suggère fortement, si ce n'est déjà fait, de lire l'article en intégralité sur le site de La Presse: