Laurent Duvernay-Tardif raconte comment il a rencontré sa blonde, Florence

Alors qu'il vient d'acheter les boulangeries de ses parents, Laurent Duvernay-Tardif sera la vedette du tout nouveau documentaire Du pain sur la planche. En entrevue au magazine 7 Jours, e joueur de football et médecin raconte tout sur son nouveau projet, et se confie également sur sa vie de couple avec sa conjointe, Florence. 

Il explique d'abord que la boulangerie familiale Le pain dans les voiles a toujours été importante pour lui. « Quand j’étais jeune, par exemple, nous y passions tous nos Noëls. Dans ce genre de commerce, le 24 décembre est la journée la plus achalandée de l’année et tout le monde y mettait du sien. Même chose à la Saint-Valentin et à Pâques. C’est là que j’ai étudié ma médecine », a-t-il raconté.

C'est aussi là qu'il a connu sa conjointe « C’est aussi là que j’ai rencontré Florence, ma blonde. Avant que j’achète l’entreprise, j’y avais vu mes parents plus souvent qu’à la maison! Ils ont bâti ce projet avec passion, mais, à un moment donné, ils ont voulu passer le flambeau », ajoute l'athlète.

D'ailleurs, sa conjointe et lui forment un couple soudé depuis plus d'une décennie. Cela fait « plus de 10 ans, peut-être 12 » qu'ils sont ensemble.

« Ma copine est de facto impliquée dans tout ce que je fais et elle fait preuve d’une sagesse que je n’ai pas. Elle est toujours capable de bien synthétiser et de poser les bonnes questions. Elle le doit à son intelligence, à sa formation et à sa sensibilité. Elle me connaît aussi très bien. Elle sait à quel point les valeurs familiales sont importantes pour moi », résume Laurent Duvernay-Tardif. 

Malgré son horaire chargé, il trouve d'ailleurs le temps de faire sa résidence à l'Hôpital général juif. « J'en ai pour trois ans. C’est l’une des raisons pour lesquelles je n’ai pas accepté de contrat en mai dernier, en tant que footballeur. Je voulais pouvoir commencer ma résidence le 1er juillet, en même temps que tout le monde. Parce que j’ai eu mon diplôme de McGill en 2018 et qu’il devenait impératif d’entreprendre ma résidence. J’aimerais un jour me spécialiser en urgence », ajoute l'athlète. 

On lui souhaite bien du bonheur pour l'avenir !