Hugo Girard met Le Journal de Montréal en demeure suite à un article à son sujet
Il a fait parvenir une mise en demeure jeudi
Monde de Stars
Hugo Girard a décidé de mettre en demeure Le Journal de Montréal ainsi que son journaliste Éric Thibault, suite à la parution d'un article intitulé « Hugo Girard est poussé dans les câbles par la police » qui affirme que l'homme fort entretiendrait des liens d'affaire avec des membres du crime organisé.
Selon Girard, cet article contient plusieurs informations qui sont fausses, trompeuses, tendancieuses et inexactes. Il demande ainsi au média appartenant à Québecor de rectifier immédiatement l'article en question.
On apprend, jeudi dans La Presse, que l'entreprise BMR a décidé de suspendre ses liens d'affaires avec Hugo Girard en attendant que la lumière soit faite.
Voici la publication que l'homme fort a faite sur sa page Facebook, jeudi:
« Ce matin, le Journal de Montréal a publié un article qui contient plusieurs informations qui sont fausses, trompeuses, tendancieuses et inexactes.
Dans ce contexte, j’ai formellement mis en demeure monsieur Éric Thibault et le Journal de Montréal à procéder à une rectification immédiate de l’article en question.
Vous trouverez en pièce jointe, la copie de la mise en demeure.
J’entends défendre ma réputation avec toute la détermination que vous me connaissez.
Merci pour votre appui. Cela compte beaucoup pour moi.
Hugo »
Voici un extrait de l'article du Journal de Montréal que vous pouvez lire en intégralité ici:
« L’animateur et homme fort Hugo Girard entretiendrait des liens d’affaires avec un membre des Hells Angels et deux proches du gang de motards, selon une enquête de la Sûreté du Québec.
C’est ce qu’un analyste civil de la Sûreté du Québec (SQ), Eric Courchesne, a déclaré mercredi devant la Régie des alcools, des courses et des jeux (RACJ) dans le dossier de la firme New Era Fighting & Promotion et son président Yan Pellerin, qui réclament un permis pour organiser des galas de boxe et d’arts martiaux mixtes (MMA).
La SQ se dit préoccupée par « l’intégrité » de la firme à la suite d’une enquête de sécurité faite à la demande de la Régie. »