Guzzo réplique directement au commentaire de Julie Snyder
L'homme d'affaires a expliqué la manière de faire
Monde de Stars
Le propriétaire de la chaîne de cinémas Guzzo, Vincent Guzzo, fait parler de lui par les temps qui courent!
D'abord, il était de passage à l'émission Le beau dimanche, animé par Jean-Philippe Wauthier en compagnie de Rebecca Makonnen, pour parler de sa présence comme investisseur à l'émission Dragon's Den. Il s'agit là de la version anglaise de Dans l'oeil du dragon.
À la suite la diffusion de l'émission, l'homme d'affaires a été interpelé sur Twitter par nulle autre que Julie Snyder. Cette dernière en a profité pour signifier son mécontentement quant au coût d'un verre vide au cinéma.
La productrice et animatrice souhaitait, pour des fins écologiques, obtenir un verre vide pour le remplir d'eau plutôt que d'avoir à acheter une bouteille en plastique. À sa grande surprise, ledit verre lui coûterait 5$! Un prix qui surprend, on va se le dire.
Voici le tweet en question où Julie s'adresse directement au propriétaire :
Le message semble s'être rendu jusqu'au principal concerné, car Vincent Guzzo a accepté de répondre à cette critique en entrevue radio avec Paul Houde au 98,5 Montréal.
Guzzo s'est défendu d'être un commerçant qui a un inventaire à faire balancer.
« Il faut arrêter de se faire passer pour des écologistes qu’on n’est pas. La vérité, c’est que le 5 dollars l’a indisposée. Maintenant, elle doit comprendre Madame Snyder que, malheureusement, on a des contrôles dans nos cinémas et qu’on doit gérer des inventaires. Les verres représentent un item d’inventaire et si on donne des verres gratuits, ça fausse les données de nos inventaires. »
« Faut être sérieux, on est des commerçants. On est là pour vendre. »
Quoi qu'il en soit, cette histoire prend une envergure un peu démesurée pour un simple verre en carton, non? Guzzo en a également profité pour répondre aux internautes à coups d'emoji sur Twitter :
« Aberrant !!! Pas surprise #profiteur »
« À la fin des années 80, les verres étaient comptabilisés et avaient généralement la valeur d'une liqueur pour l'inventaire à la fin du chiffre puisque qu'il n'y a pas de compteur sur les boissons en fontaine. Nous pouvions seulement donner des petits verres non comptabilisés. Et ceci, lorsque je travaillais pour Cineplex Odeon 2000. Hors, je dois alors seconder les propos de Mr. Guzzo. »
Qu'en pensez-vous?
Êtes-vous d'accord avec Julie Snyder? Ou approuvez-vous plutôt les propos de Vincent Guzzo?