Olivier Dion s'ouvre à propos de moments difficiles qu'il a vécu

Dans la dernière année le chanteur que l’on a connu dans Star Académie 2012 s’est remis en question. Il y a quelques semaines, il sortait la chanson Vraiment. Olivier Dion a d'ailleurs sorti un nouvel album il y a quelques temps.

Depuis deux ans, il travaille fort pour parvenir à la carrière de ses rêves. On a enfin pu découvrir son nouvel album. Celui-ci aborde l'amour, les doutes et l'anxiété.

Ces derniers temps, Olivier Dion est aussi l'animateur de la télé-réalité l'Île de l'amour, où il joue très bien son rôle! Sa confiance et son charisme traversent l'écran et offrent un excellent résultat!

Cette semaine, Olivier Dion s'est ouvert au magazine 7 jours et a abordé de nombreux sujets sensibles. Il s'est notamment ouvert grandement à propos de son passage en France. Il a expliqué que ce fut des moments difficiles pour lui.

«J’ai toujours eu de la misère à trouver mes repères. J’arrivais à Paris fatigué. C’était une période de remises en question. Je me demandais si j’étais au bon endroit et si je faisais la bonne chose. Je me sentais loin de chez moi, parce que j’aime bien être à la maison, j’aime Montréal, j’aime le Québec.»

Il a notamment vécu une histoire d'amour tumultueuse qui lui a fait beaucoup de mal:

«Cette période en sol français était également trouble sur le plan sentimental. «J’ai vécu une relation amoureuse très compliquée, très tumultueuse avec une fille qui vivait en France. Et ça a pris beaucoup de place dans ma vie pendant mon séjour.» C’est de cette histoire qu’il est question dans la chanson Paris (n’est plus la même). »

Et il s'est aussi séparé de son ancien gérant:

«on ne partageait plus la même vision. Ça faisait quelques années qu’on collaborait et on a fait de grandes choses ensemble. On avait le même genre d’ambition, mais on n’avait plus la même vision. Il a donc fallu qu’on se sépare. Mais, quand on laisse une personne avec qui on a accompli de grandes choses, on se retrouve seul avec un syndrome de l’imposteur et on se demande si on va être capable de continuer en solitaire et si les projets vont se présenter aussi bien.»