L'ancien chauffeur de la princesse Diana affirme qu'elle serait encore en vie s'il avait conduit cette nuit-là.
Il brise le silence 30 ans plus tard.
L'ancien chauffeur de la princesse Diana affirme qu'elle ne serait pas morte s'il avait conduit la nuit où un tragique accident lui a coûté la vie.
C'est le 31 août 1997 que la princesse de Galles est décédée à l'âge de 36 ans des suites de ses blessures.
La princesse se trouvait alors dans une voiture avec son petit ami, le cinéaste Dodi Fayed et le garde du corps de ce dernier, Trevor Rees-Jones, tandis que le chauffeur de Diana, Henri Paul, était au volant.
La voiture en question était pourchassée par neuf journalistes lorsque l'accident tragique s'est produit sous le pont de l'Alma, à Paris.
Les rapports ont démontré par la suite que le chauffeur Henri Paul avait perdu le contrôle de la voiture pour ensuite s'écraser contre une colonne dans le passage souterrain.
L'accident avait tué Fayed sur le coup, tandis que Diana et Rees-Jones ont été grièvement blessés.
La princesse de Galles est finalement décédée à 4 heures du matin à l'hôpital.
Steve Davies, l'ancien chauffeur de la princesse, s'est récemment exprimé à ce sujet en déclarant: «J'aurais pris une balle pour Diana. Mon travail, c'était ma vie. J’ai toujours été là pour elle. Je suis passé du travail de rêve à devoir tout recommencer à zéro.»
L'ancien chauffeur a expliqué: «Tout ce que je sais, c'est que si la vie avait pris une trajectoire différente, si je l'avais conduite cette nuit-là à Paris, elle serait encore là aujourd'hui... parce que je l'aurais gardée en sécurité.»
Steve Davies a confié avoir perdu son emploi après huit ans, car le journaliste Martin Bashir avait propagé des mensonges à son sujet afin de tenter de gagner la confiance de Diana avant son interview controversée avec elle pour Panorama.
Le journaliste avait menti en informant la princesse que l'ancien chauffeur avait divulgué des informations à son sujet à la presse.
L'ancien chauffeur a toutefois reçu une compensation après les fausses allégations de Bashir.