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Monde de Stars
Christine Morency raconte l'anecdote intime la plus triste qu'on a entendue cette année
Ouvre ton jeu avec Marie-Claude Barrette  

Christine Morency raconte l'anecdote intime la plus triste qu'on a entendue cette année

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Christine Morency est apparue dans le paysage culturel québécois comme une véritable météorite qui a su faire sa place parmi les personnalités publiques les plus appréciées du public en quelques années à peine.

Avec son franc-parler, son sens de la répartie, sa bonne humeur contagieuse et son énergie positive, elle représente l'amie qu'on aimerait tous avoir à nos partys. 

Mais derrière cette image de femme forte qui parle fort, il y a une femme sensible et réfléchie qu'on a appris à découvrir davantage grâce à l'excellent balado Ouvre ton jeu avec Marie-Claude Barrette, donc l'humoriste était l'invitée cette semaine.

Au cours d'une entrevue à coeur ouvert de près de deux heures, Christine Morency s'est ouverte avec beaucoup de franchise et de transparence sur plusieurs sujets intimes, dont sa vie amoureuse et ses relations avec les hommes.

Christine Morency raconte l'anecdote intime la plus triste qu'on a entendue cette année

Notamment, elle a raconté une histoire marquante de sa vie de jeune adulte qui nous a fait verser une larme tellement c'est triste.

« Je vais toujours me souvenir de cette fois-là. Je couche avec un gars que je trouve incroyablement magnifique, gentil, il est fin. C'est un pompier, il est beau beau beau, charmant, il est doux, c'est un bon amant, mais pas juste un amant.

On va souper avant, on retourne faire l'amour, on sort voir un film... C'est doux, c'est tendre, il me rappelle, on se revoit. On devient presque fusionnels tellement on se voit dans la soupe l'un de l'autre.

Je me souviens un matin, on a passé la nuit ensemble à avoir beaucoup beaucoup de plaisir et il me dit aujourd'hui je m'en vais passer la journée sur un bateau avec des amis, veux-tu venir?

Christine Morency raconte l'anecdote intime la plus triste qu'on a entendue cette année

Et là, j'ai cassé.

J'étais comme ah non je ne peux pas j'ai quelque chose.

Et tout ça parce que tous les films de mon adolescence ça a été le beau gars qui se fait dire par ses chums de gars «pas game de sortir avec elle!» ou «pas game de séduire elle» et finalement on parle de la fille laide de l'école. Moi dans ma tête j'ai ce traumatisme-là de c'est pas vrai.

Il veut m'inviter sur le bateau pour m'humilier devant ses amis et après ça il ne me rappellera plus. Parce que dans l'intimité on peut fusionner, mais impossible qu'un aussi beau gars que lui, pompier, veule me présenter à ses amis gars pompiers avec leur blonde sur un bateau, faut que je me mette en maillot de bain.

Christine Morency raconte l'anecdote intime la plus triste qu'on a entendue cette année

On se rappelle que j'ai 21 ans, je n'ai pas la confiance que j'ai aujourd'hui. Donc je me trouve une excuse et je n'y vais pas et j'ai toujours regretté de ne pas avoir dit oui ce jour-là. 

Comment ça se fait que je n'ai pas fait confiance à ce gars-là? Tout était là. Ce n'était pas un piège, il était profondément gentil, cette chimie-là je ne l'ai pas inventée. J'ai toujours regretté ça et on dirait que par regret, je me suis forgé cette nouvelle carapace. J'ai dit non une fois donc c'est facile de dire non les 150 prochaines fois que ça ça va m'arriver. »

« Tout ça pour dire que quand je suis arrivée à mes 30 ans, j'avais vécu le plaisir sans attache et là j'ai fait c'est fini. Quand j'avais une relation physique avec un homme sans qu'il y ait une relation intellectuelle ou une certaine chimie, on jase, on apprend à se connaître, on fait une activité et à un moment donné ceci mène à l'acte, mais si je n'avais pas ça, je me sentais plus vide avant que le gars arrive que quand il est reparti. 

Christine Morency raconte l'anecdote intime la plus triste qu'on a entendue cette année

J'avais l'impression d'être pas ben. J'ai encore "servi". O*ti que j'étais pas ben. Donc j'ai arrêté de dater complètement et j'ai fait c'est fini, je ne veux plus. C'est rendu que le sexe me répugnait parce que j'avais trop été à l'encontre de ce que je voulais vraiment. La petite fille sensible qui voulait être aimée aussi, pas juste être baisée. 

La petite fille qui aurait voulu aller sur le bateau et qui a dit non. »

Vous pouvez voir l'extrait juste ici:

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Source: Ouvre ton jeu avec Marie-Claude Barrette