Bianca Gervais s'ouvre avec vulnérabilité à propos de ses troubles alimentaires
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Monde de Stars
Bianca Gervais est une animatrice et actrice adorée du Québec. Elle multiplie les rôles qui marque les esprits et qui continuent de vivre longtemps dans la tête des gens. En effet, on a pu la découvrir dans de nombreuses productions qui ont grandement interpellé les gens, tel que Tu m'aimes-tu?, Le secret de ma mère, J'ai tué ma mère, Fatal Bazooka, etc. Elle apprécie aussi faire du doublage, où elle a développé une bonne expertise.
En entrevue avec le magazine 7 jours, elle s'est ouverte à propos de ses troubles alimentaires. Elle a notamment abordé le moment où elle en a parlé publiquement pour la première fois, lorsqu'elle était à la radio. Elle a avoué avoir eu peur de s'être ouverte à ce sujet:
«Je n’ai pas beaucoup de filtres dans la vie. En général, je me connecte sur le vrai, et ça sort! C’est quand je suis arrivée à la maison et que mon chum m’a dit: «Wow! Tu as choisi ça comme sujet à la radio?» que j’ai réalisé que je m’étais peut-être trop ouverte et que ce n’était pas nécessaire. Puis, en même temps, j’ai réalisé que je suis fatiguée de tout suranalyser. »
Lorsqu'on lui a demandé ce qu'elle aurait aimé dire aux jeunes qui sont pris avec ce genre de problématique, voici ce qu'elle a répondu:
«J’aimerais leur dire: «Tu es assez!» On n’est pas seulement un corps, on est une sensibilité, un cœur, une intelligence. Notre corps n’est qu’une enveloppe. Quand Sébastien et moi écoutons des films d’animation avec les filles, je remarque que souvent les personnages principaux sont différents, et on trouve ça beau. Pourquoi on ne l’applique pas dans la vraie vie? Toute l’énergie que j’ai mise à calculer mes calories, j’aurais tout simplement dû la mettre à être heureuse.»
Et voici ce qui l'a motivé à s'ouvrir avec vulnérabilité à propos de ce sujet sensible:
«C’est assurément la fin de la trentaine qui me donne envie de me libérer du regard des autres et de voyager léger. J’ai tellement essayé de changer mon rire, de moins gesticuler ou de prouver que j’avais un cerveau!»