Normand Brathwaite se confie sans tabou sur les médicaments qu'il doit prendre tous les jours

Alors qu'il était de passage plus tôt cette semaine à l'émission Bonsoir bonsoir animée par Jean-Philippe Wauthier, Normand Brathwaite a fait des confidences d'une franchise désarmante sur les médicaments qu'il prend.

L'animateur a d'abord demandé à Normand Brathwaite pourquoi il avait accepté de chanter à l'émission.

« Les médicaments », a répondu son invité sans détour.

« Je prends des médicaments. C'est une petite pilule. C'est mon médecin, mon Dr. C'est une petite pilule comme, quand ta fille rentre trop tard et que tu t'inquiètes. [Ma médecin] me dit "tu prends cette petite pilule-là et tu t'en câlisses" », raconte-t-il, déclenchant les rires dans le public.

« Alors, c'est la pilule de "je m'en câlisse". Alors, cette pilule-là, j'en prends tous les matins. Le monde arrive et me dit "heille, tu chantes une toune live". Je m'en câlisse », résume-t-il.

« Et cette pilule va permettre à Normand de tougher un autre 50 ans », réagit Jean-Philippe Wauthier.

Le mois dernier, qu'il était de passage à La semaine des 4 Julie, Normand Brathwaite s'est confié sur ses problèmes d'anxiété. Il était invité à l'émission du lundi pour parler de la pièce Sainte-Marie-La-Mauderne, adaptée du film à succès La grande séduction.

Normand Brathwaite a alors raconté que, s'il est régulièrement malade avant de monter sur scène à cause du stress, ses problèmes de santé se sont aggravés récemment.

Ainsi, il a fait une ischémie cérébrale transitoire (ITC), soit « un AVC en plus court », a-t-il résumé.

« En salle de répétition, j'étais dans le déni. Mais, la première journée où on est entrés dans le décor, j'ai vu le décor et j'ai vu ce grand trou noir, qui est le quatrième mur. Il n'y avait pas de public, la salle était vide. Là, je me suis mis à parler comme Jorane [NDLR une chanteuse et violoncelliste qui chante dans une langue inventée]. Je disais des mots qui n'existaient pas. Dans ma tête, je voulais dire au monde : "Heille, ça feel pas", et je disais : "[#U%(Q#&%*(ZG]" », illustre Normand Brathwaite.

« J'ai appelé mon gendre, qui est médecin. Et il m'a dit : "Va tout de suite à l'hôpital". Je suis allé à l'hôpital et, le lendemain, je suis retourné sur scène parce que je me suis dit que ça allait être la dernière fois. Finalement, ça a bien marché », poursuit-il.

Heureusement, tout semble être rentré dans l'ordre grâce à ses médicaments !

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