Kim Rusk publie une vidéo mais un petit détail retient toute l'attention

Kim Rusk a toujours su faire parler d'elle. L'animatrice a su faire sa place parmi les personnalités publiques chouchous du public québécois au cours des dernières décennies et c'est en grande partie grâce à son sens de l'humour, de l'autodérision et son authenticité.

Ceux qui la suivent sur les médias sociaux savent à quel point elle est divertissante et elle l'a prouvé une fois de plus, mardi, en publiant une nouvelle vidéo qui fait énormément réagir. Et en regardant la très drôle vidéo, vous comprendrez rapidement quel est le détail qui a retenu l'attention des internautes.

La magnifique Kim a toujours aimé plaire et elle a toutes les raisons d'être fière de son corps. C'est donc en misant sur l'humour qu'elle a réussi à faire rire les internautes.

Avec la voix de son ami et co-animateur Olivier Martineau, on a eu droit à un « Get ready with Kim les pines ! »

Voici la vidéo en question qui a été publiée, mardi, sur le compte Instagram de Kim Rusk:

Voici quelques commentaires publiés sous la vidéo:

Voici d'autres photos publiées sur le compte Instagram de Kim Rusk au cours des derniers mois:

Il y a quelques années, Kim Rusk s'était ouverte sur son passé avec beaucoup de transparence à l'émission La vraie nature.

Jean-Sébastien Dion lui a demandé si elle faisait beaucoup la fête quand elle avait 17 ou 18 ans. Il a ensuite diffusé un extrait du film Strip-tease mettant Demi Moore en vedette. « Qu'est-ce qui se passe dans ta tête, quand tu vois ça ? », lui demande-t-il.

« Je me dit "ok, la femme peut avoir ce pouvoir-là sur l'homme à ce point-là pis faire de l'argent pour faire ça?" Why not?! Et j'ai essayé. J'étais un peu comme ça de nature. La sexualité m'attirait. La sensualité m'attirait. Les filles, je les trouvais belles. Les gars, je les trouvais beaux. Donc, je me suis dit que j'allais essayer », a répondu Kim Rusk.

« J'ai adoré faire ça. Le côté "t'es belle". J'étais adulée. J'allais dans les petits bars de région », dit-elle. Elle ajoute ne jamais avoir consommé de drogue pour faire le métier d'effeuilleuse. « Il n'y a personne qui prenait ma paie à la fin, j'avais du fun. Je faisais du cash : 1 000 à 2 000 $ en deux ou trois jours », se souvient-elle.

Si Kim Rusk a occupé ce métier en cachette, elle a tout de même tout dit à son père au moment de quitter ce milieu. « Et à un moment donné, pour mettre un terme à cela comme il faut, il fallait que j'écrive une lettre à mon père. Il fallait que je lui dise la vérité. Je voulais tout le temps faire plaisir à mon père, tout le temps aller chercher son approbation.

C'était "tu seras fâché, renie-moi à la limite". Je l'ai fait pour mes raisons, je ne le regrette pas, mais là, par contre, c'est terminé, donc je lui ai écrit une lettre et je lui ai tout dit. Il l'a lue, il m'a zéro parlé de la danse. Il m'a juste demandé "qu'est-ce qui se passe après ? C'est quoi, ton plan ?" On a parlé de la radio, etc., et on a fait en sorte que je puisse aller dans une école de radio, de télé », a-t-elle expliqué. 

Regardez toute son entrevue en cliquant ici.

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