Maripier Morin n'en revient pas de ce que son chum vient de dire en direct à la radio

Alors que les Filles du Lunch, c'est-à-dire Maripier Morin et Marie-Ève Janvier étaient réunies autour d'une table en compagnie de leur amoureux respectif, c'est-à-dire Jean-Philippe Perras et Jean-François Breau, un petit moment cocasse est survenu en direct à la radio lors d'une émission spéciale du party de Noël de Filles du Lunch.

En effet, pendant qu'ils jouaient à un jeu nommé « à qui dit mieux » en couple, un jeu questionnaire pour les 10 ans plus, Jean-Philippe a donné une réponse assez cocasse qui a provoqué un petit malaise autour de la table. Le but du jeu est assez simple, il faut trouver un maximum de réponses par catégorie et la dernière personne qui a fourni une réponse remporte la ronde.

Avant même de débuter le jeu, Maripier lance un avertissement amical à son amoureux: « mon amour, fais-moi pas honte ».

Alors que Marie-Ève Janvier lit la question du jeu ou il faut nommer : « des choses qui ont besoin d'huile... »

Ne sachant absolument pas quoi répondre, J-P Perras répond... « les organes génitaux ».

« Ça part fort » lance de son côté Jean-François Breau, quant à Maripier, elle n'a pas pu se retenir de lâcher un « Jean-Philippe, je t'ai dis fais moi pas honte pis tu commences avec ça! »

Jean-François Breau en profite pour lancer à la blague à J-P: « ça besoin d'huile chez vous ça ». L'extrait prend fin sur cette note.

Chose certaine, le quator a passé un moment très rigolo autour de la table et on se demande comment ça se fait que Jean-Philippe n'ait pas nommé son fameux tracteur à pelouse sur lequel on l'a vu tellement souvent dans les stories de Maripier Morin à l'été dernier.

Vous pouvez écouter la fameuse séquence ici:

Par la suite, le quator en a également profité pour faire un petit échange de cadeaux que voici :

De plus, Maripier a également dévoilé une anecdote très drôle concernant sa façon de dire aux convives que le party de Noël est terminé et comme vous allez l'entendre, elle ne passe pas par quatre chemins:

Sacrée Maripier, ne changes pas!