Karine Gonthier-Hyndman révèle s’il y aura une troisième saison de « C’est comme ça que je t’aime »

C’est l’une des séries qui aura marqué les téléspectateurs ces derniers mois. « C’est comme ça que je t’aime » sera de retour pour une deuxième saison le mois prochain, mais la comédienne qui interprète le personnage de Micheline a déjà dévoilé ce qu’il s’en vient pour le futur.

Invitée à l’émission La soirée est (encore) jeune, Karine Gonthier-Hyndman venait présenter la deuxième saison de « C’est comme ça que je t’aime » qui sera diffusée dès le 3 mars prochain sur l’Extra de ICI Tou.tv. 

Alors que la première saison avait vu le jour au début de la pandémie, cette deuxième saison voit le jour au milieu d’une énième vague. « Deux ans plus tard, on refait la même chose, à presque pareille date, je ne sais pas comment prendre ça sinon en me disant que ça va être la fin de cette pandémie-là avec cette deuxième saison » annonce Jean-Philippe Wauthier.

C’est alors que la comédienne répond avec une petite longueur d’avance : « Écoute, tout porte à croire qu’il y aura une troisième saison, donc si la tendance se maintient, ça voudrait dire un troisième volet à cette pandémie ! » ironise-t-elle.

Alors, avant même que la deuxième saison soit diffusée sur internet et à la télévision, on parle déjà d’une nouvelle année.

La bande-annonce de la deuxième saison a été dévoilée cette semaine et les nouveaux épisodes nous promettent une saison particulièrement sanglante et excitante. 

« Il se passe beaucoup, beaucoup, beaucoup d’affaires, explique Karine Gonthier-Hyndman, j’ai le feeling que ça va être vraiment bien. On a eu beaucoup de plaisir à tourner ça, il y a beaucoup de cascades, de meurtres et de cocaïne. Micheline elle a trouvé son créneau et son expertise et pourquoi ne pas foncer là-dedans ».

L’entrevue s’est aussi conclue en parlant de théâtre alors que Karine Gonthier-Hyndman qui devait jouer sur les planches du Théâtre du Nouveau-Monde, semble particulièrement à bout des reports et des fermetures des lieux culturels : « C’est super déprimant, c’est ben décourageant, parce que le théâtre c’est un travail de longue haleine, le travail se fait en amont. Là, on faisait notre entrée en salle. J’ai le sentiment de jeter à la poubelle des mois de travail. »