Vincent Guzzo se porte à la défense de Caroline Néron et lui offre de la publicité gratuite
Enfin une bonne nouvelle pour Caroline Néron
Monde de Stars
Les derniers jours ont été extrêmement mouvementés pour la femme d'affaires Caroline Néron qui a révélé au grand jour les difficultés financières de son entreprise de bijoux et qui a annoncé qu'elle se plaçait sous la protection de la Loi sur la faillite. Depuis l'annonce, de nombreuses personnalités publiques ont pris position, certains pour défendre la femme qui a eu l'audace de lancer sa propre entreprise et créer de nombreux emplois; d'autres pour la critiquer et affirmer qu'elle était responsable de ses propres malheurs.
Dans ce lot d'opinion qui proviennent de plusieurs personnes influentes dans l'univers médiatique québécois, Vincent Guzzo est venu ajouter sa voix, lundi, déclarant même qu'il offrait de la publicité gratuite à Caroline Néron.
Le propriétaire des Cinémas Guzzo a offert à la fondatrice et propriétaire des Bijoux Caroline Néron de la publicité gratuite qui sera diffusée sur les écrans des cinémas Guzzo à travers la province.
«J'ai fait la même chose que pour un ami à moi, qui est Saul Parasuco quand il a décidé de fermer des magasins, je lui ai offert de faire une publicité sur les écrans de cinéma annonçant son site web et j'ai fait la même chose avec Caroline», a affirméVincent Guzzo lors d'une entrevue avec Sophie Durocher à l'émission On n'est pas obligé d'être d'accord sur Qub Radio .
«Caroline, je l'ai fait parce que j'ai pas aimé comment elle a été traitée. Un bon entrepreneur, c'est quelqu'un qui a vécu des hauts et des bas. [...] Je l'ai appelée même si je ne la connais pas».
Selon M. Guzz, Caroline Néron va réussir à redresser son entreprise.
«Je pense que comme tout entrepreneur qui vit des moments financiers difficiles, elle était un petit peu down, mais elle était pas au bord de la déprime. C'est quand même une fighter. L'impression que j'ai eue, c'est que Caroline Néron ne disparaîtra pas du portrait de l'entrepreneuriat québécois».
«Au Québec, c'est spécial. Si on réussit, on chiale qu'on fait trop d'argent, qu'on dépense et qu'on est des show off. Si ça va mal, on nous tape sur la tête.»
On vous suggère fortement d'écouter l'entrevue en intégralité sur le site de QUB Radio.