Mariloup Wolfe se confie pour une rare fois sur ses enfants et sa relation avec Guillaume Lemay-Thivierge
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Monde de Stars
Mariloup Wolfe était de passage sur le plateau de La Tour, cette semaine, et elle a accordé une magnifique entrevue pleine de franchise et d'ouverture à Patrick Huard qui en est à ses toutes dernières émissions à la barre du talk-show quotidien de TVA, avant de laisser la place à Gildor Roy qui lui succédera l'automne prochain.
La réalisatrice et comédienne a parlé de plusieurs sujets, dont celui de la conciliation travail/famille. On le sait, la belle Mariloup est la mère de deux enfants âgés de 10 et 11 ans, issus de son union passée avec Guillaume Lemay-Thivierge.
On peut imaginer que quand nos deux parents ont des carrières aussi remplies et exaltantes, trouver le bon dosage entre vie professionnelle et familiale n'est pas évident.
« Je trouve ça dur, confie-t-elle d'emblée à Patrick Huard. Nos métiers sont vraiment prenants. Les tournages sont principalement l'été, quelque part de mai à octobre.
Quand tu décides d'avoir des enfants, il y a quand même un système scolaire qu'ils suivent, donc, deux semaines de congé à Noël, une semaine de relâche et l'été. Ce qui fait que je ne trouve pas ça nécessairement simple. On me propose des projets, ce n'est pas moi nécessairement qui décide les tournages commencent quand. »
Elle ajoute:
« C'est l'été le problème. Le reste de l'année, ça va assez bien la conciliation travail-famille parce que, comme je suis réalisatrice, je suis en post-production, donc mon horaire, je le fais de 9 à 5.
Au début, j'ai trouvé ça plus dur d'avoir mes enfants juste 50 % du temps. Mon horaire, j'essaie de l'organiser pour que les 50 % que j'ai avec eux, je suis complètement là. »
L'animateur lui demande alors comment Guillaume Lemay-Thivierge et elle se séparent la gardes des enfants.
« En théorie on est une semaine / une semaine, mais avec les tournages, on est vraiment flexibles. On s'échange ça quand même vraiment facilement. C'est vraiment zen cette portion-là. Même quand on était ensemble, c'était comme ça. Ça c'est super. Mais c'est vraiment l'été mon cheval de bataille intérieur pour la culpabilité.
Hier, j'ai commencé à chercher des camps. La crise dans la maison hier soir, ça pleurait toutes les larmes de leur corps. J'essaie de les préparer mentalement parce que, effectivement, c'est peut-être le premier été où ils vont aller à des camps, mais comme bien des enfants du Québec. »