Claudie Mercier s'est rendue à l'hôpital parce qu'elle pense avoir la COVID-19

Claudie Mercier a fait savoir sur les réseaux sociaux qu'elle se sentait épouvantablement mal en point et a même fait un tour à l'hôpital, en raison d'un intense mal de gorge. 

« Je suis à boutte de tousser, ça m'irrite la gorge en maudit. J'ai fait une commande de plein d'affaires sur Uber Eats pour engourdir ma gorge, parce que même les Tylenol extra-forts n'enlèvent pas le mal. Le pire présentement est ma gorge + toux + congestion nasale. On lâche pas les chums, merci de vos beaux mots d'encouragement », a-t-elle écrit dans une première story sur Instagram, mercredi. 

« En plus, mes ganglions sont enflés en sacrament », a-t-elle ajouté. 

« Jamais eu un mal de gorge aussi intense. Pourquoi même les anti-inflammatoires ne marchent pas ? Même les Cépacol, sirops, ont aucun effet sur mon mal de gorge. Je me gargarise avec du sel et je bois de l'eau chaude avec du miel + vinaigre de cidre de pomme. Je vais essayer d'aller dormir, mais respirer par le nez est impossible et par la bouche, j'ai trop mal. Désolée pour ces stories de merde, mais peu importe le remède, je suis preneuse », a-t-elle poursuivi. 

Après une nuit sans sommeil, l'influenceuse est même allée à l'hôpital. 

« Update : je suis allée à l'hôpital, cette nuit à Brossard, car rien ne me soulageait et je voulais confirmer que j'avais la COVID. Mais aussi, je voulais savoir si j'avais pas autre chose, parce que something feels wrong. Ils m'ont renvoyée chez moi en me disant que si mon test rapide était positif, ils ne pouvaient rien faire. Je connais plein de gens qui ont eu des faux-positifs. Je leur ai dit que mon mal de gorge m'empêchait d'avaler / dormir, et ils m'ont dit de prendre des Tylenol. J'ai dit que je prenais des Tylenol, qu'il n'y avait rien à faire, ma douleur reste. Ils m'ont dit : si ton test était positif, je ne peux rien faire. Et je suis repartie chez moi. J'ai pas dormi de la nuit et je suis vraiment malade. Je comprends 1000 % que les hôpitaux sont débordés et j'envoie du love à tout le professionnel de la santé, lâchez pas. Mon but ici est surtout d'exposer la réalité du moment. C'est rough et ils prennent seulement les cas critiques dans les hôpitaux et c'est compréhensible. Par contre, je connais mon corps et je ne vais jamais à l'hôpital pour rien, alors je me sens impuissante, live. Take care, les amours, c'est important. »