Charles Lafortune partage une adorable photo de son fils Mathis et un détail retient l'attention

« Le penseur et la forêt ». C’est comme ça que Charles Lafortune décrit son fils lors de leur promenade dans le bois.

Charles Lafortune est un père fier et il le fait savoir sur ses médias sociaux avec des photos de Mathis, son fils de 20 ans, qu’il appelle affectueusement « le penseur ». D'ailleurs, plus Mathis vieillit et plus c'est évident à quel point il ressemble à comme deux gouttes d'eau à son célèbre papa.

La dernière photo en date se déroule dans la forêt alors que le père et le fils ont profité des joies de la nature pour se ressourcer et se promener.

La photo est tout simplement adorable et nous ne sommes pas les seuls à le penser comme on le voit dans ces quelques commentaires laissés sous la publication : 

« Superbe photo d’un beau grand jeune homme. Le GRAND AMOUR »

« Très beau ce jeune homme, quelle intensité dans ce regard 😍 »

« Très jolie photo. La nature il n’y a rien de meilleur 😍❤️😍 »

« Beau jeune homme,je te souhaite un bel été☀️💙 »

« Longtemps que l'on T'as vu, mon Penseur ! 🌼💖🌼 »

« Magnifique jeune homme magnifique photo et comme je dis souvent a mon fils vivre bien avec différence 😘 »

Il y a quelques mois, Charles Lafortune avait donné des nouvelles de son fils au magazine 7 Jours alors qu’on avait appris qu’il souffrait maintenant d’épilepsie.

« Ça remonte à octobre 2020, en plein cœur de la pandémie. Mon fils a fait une première crise d’épilepsie, j’étais seul avec lui à la maison et il était dans la salle de bains. J’ai entendu un bruit anormal et quand j’ai ouvert la porte il était au sol, pris de convulsions. La bonne chose est que cette journée-là, j’avais un rendez-vous avec lui à Sainte-Justine pour complètement autre chose, et il est allé tout de suite en neurologie.

Mais ils n’ont pas trouvé de foyer d’épilepsie tout de suite; ce n’est qu’en janvier, lorsqu’il a eu une grosse grosse crise, que le diagnostic a finalement été émis. Chez les autistes, il y a un bon pourcentage, entre 15 % et 20 %, qui font de l’épilepsie à différents niveaux. Souvent, ça se déclare à l’âge adulte. Ça concorde bien avec Mathis, qui avait 18 ans lors de sa première crise. Après avoir passé l’année 2021 là-dedans, nous sommes plus en contrôle maintenant. Mathis va bien, mais il faut vraiment être très strict sur la prise de médicaments et sur l’heure à laquelle il doit les prendre. »