Un commentaire revient systématiquement au sujet de Louis-José Houde et son animation de l'ADISQ
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Monde de Stars
Louis-José Houde était à la barre du Gala de l'ADISQ pour une 17e année consécutive, dimanche soir, et on ne pourrait assez dire à quel point cet état de fait représente un accomplissement immense. 17 ans à la barre du même gala sans controverse, sans année décevante, sans grogne du public, sans baisse de régime.... Il faut le faire!
L'humoriste a démontré une fois de plus, dimanche soir, qu'il est dans une classe à part lorsque vient le temps d'animer un gala avec doigté, élégance, humour et finesse.
À lire les différents chroniqueurs qui touchent de près ou de loin au milieu culturel québécois, tous s'entendent pour dire que la performance offerte dimanche soir par Louis-José Houde était un sans-faute.
Dans La Presse, Hugo Dumas écrit:
« Même à son 17e tour de piste consécutif, jamais nous n’avons senti l’humoriste-animateur blasé, en panne d’idées ou sur le pilote automatique. Il a encore servi un monologue d’ouverture brillant, précis et rempli de perles d’humour. Ça paraît quand un maître de cérémonie aime son sujet — la musique québécoise – et qu’il injecte cœur et énergie dans l’écriture de ses textes, ciselés à la perfection.
Chacune des présences de Louis-José Houde, qui attrapait habilement les perches tendues par les vedettes, a déclenché des rires dans la foule, réactive, bruyante et allumée. Enfin. Ça fait une méchante différence de présenter une fête devant une salle Wilfrid-Pelletier remplie à craquer, plutôt que dans un studio de télé vide et froid. »
Dans Le Journal de Montréal, Sophie Durocher abonde dans le même sens:
« Ça fait 17 ans que Louis-José Houde anime le gala de l’Adisq. Son animation est plus vieille que mon grand ado. Et pourtant il arrive chaque année à nous épater. À mettre le doigt sur le bobo. Et cette année, il a visé juste quand il a dénoncé l’horrible fléau des spectateurs qui filment les performances/prestations avec leurs @#$%?%$#$%?%$ de cellulaires, un acte d’une idiotie et d’un égoïsme phénoménaux.
Quand il a lancé au sujet de cette pratique débile : « C’est épeurant à quel point on est rendu confortables d’être caves », j’applaudissais dans mon salon ! On ne le dira jamais assez : ça écœure tout le monde quand vous brandissez votre téléphone qui est plus intelligent que vous pour filmer une image croche d’un spectacle. »
Sur les ondes du 98,5 FM, au micro de Paul Arcand, Catherine Brisson a affirmé:
« Je cherche à chaque année des qualificatifs différents pour le décrire et je n'en ai pas. Écoute, il a été excellent, il a toujours été là reprendre les interventions des artistes, il est arrivé à faire des petites blagues à gauche et à droite, il n'a pas besoin d'être baveux, Louis-José Houde. C'est ce que j'aime, il n'est pas plate avec les artistes, au contraire on sent qu'il aime la musique et qu'il est content d'être là. »
Si vous ne l'avez toujours pas vu, voici le monologue d'ouverture prononcé par Louis-José Houde au début du 44e Gala de l'ADISQ: