Sophie Durocher en rajoute une couche sur les pétages de coche de Guy Nantel et Serge Denoncourt
Elle ne s'attendait pas à cela.
Monde de Stars
Après que Serge Denoncourt eut « pété sa coche », cette semaine à Bonsoir Bonsoir, et que Guy Nantel eut fait la même chose sur Facebook, Sophie Durocher en a rajouté une couche dans sa chronique publiée samedi matin dans le Journal de Montréal.
Rappelons tout d'abord que Serge Denoncourt a dénoncé le fait qu'il n'avait pas été capable d'être servi en français au Tim Hortons situé juste en face du Théâtre du Nouveau-Monde à Montréal, alors qu'il était à Bonsoir bonsoir.
Ensuite, Guy Nantel avait déploré la même chose au restaurant Les Mauvais Garçons.
Sophie Durocher a salué les prises de parole des ces deux artistes. « Enfin ! Moi qui me plaignais récemment que les artistes ne reprenaient pas le flambeau de la défense du français, on peut dire que j’ai été... servie », dit-elle sans faire de mauvais jeux de mots.
La chroniqueuse estime d'ailleurs que plus de gens devraient s'indigner de la même façon.
« Ça va prendre combien de pétages de coche de gens connus avant que l’ensemble des Québécois se réveillent et se révoltent devant l’anglicisation galopante du Québec ? Des "pétages de coche", j’en fais souvent, dans cette chronique, à QUB Radio, ou sur mes médias sociaux. Récemment, je suis allée dans un centre commercial où j’ai été accueillie par un "Bonjour, Hi". Quand je me suis plainte à la vendeuse, le gérant est devenu très agressif avec moi en me disant : "Nous, on est inclusifs, Madame" », ajoute Sophie Durocher.
Selon elle, les signes montrent que la langue française est méprisée partout au Canada, pays soi-disant bilingue « et tolérant et inclusif ». Elle cite en exemple le PDG d'Air Canada qui, jusqu'à récemment, n'avait jamais daigné apprendre le français, le CA du CN unilingue anglais, ou encore la gouverneure générale, qui ne parle pas, elle non plus la langue de Molière.
Êtes-vous d'accord avec elle ?
Lisez sa chronique complète ici.