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Monde de Stars

Marie-Claude Barrette aborde de façon bouleversante la mort de sa mère

« Je suis restée avec elle jusqu'à sa mort. »

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Alors qu'elle était en entrevue au magazine 7 Jours, Marie-Claude Barrette a fait de bouleversantes confidences sur la mort de sa mère, survenue en septembre. 

Sa mère, Doris, est morte le 1er septembre dernier en après-midi. Mais Marie-Claude Barrette a eu bien peu de temps pour composer avec la triste nouvelle, comme elle devait travailler dès le jour suivant. « Dès le lendemain, j’avais un topo à faire. Il n’en demeure pas moins que la mort n’empêche pas le monde de tourner, et c’est ce que j’ai trouvé le plus difficile. Mais, comme mes invités étaient mes amis Denis Lévesque et Pascale Wilhelmy, je me suis dit que ça allait me faire du bien. J’ai passé beaucoup de temps avec mon père entre mes journées de travail. Il va mieux, mais c’est difficile pour lui. Depuis 30 ans, mon père et ma mère vivaient seuls ensemble », se souvient-elle. 

Sa mère était d'ailleurs surprise de mourir avant son père. « Pendant plusieurs années, elle s’était préparée à devenir veuve. Mon père est cardiaque; il avait fait son premier infarctus à 47 ans. Elle ne pensait pas qu’il avait encore une longue espérance de vie. Finalement, ma mère a eu un cancer du pancréas avec des métastases au foie, stade 4. On a tous été renversés par le premier diagnostic, qui lui donnait trois mois à vivre », raconte Marie-Claude Barrette. 

L'animatrice a tout de même pris soin de sa mère durant son combat contre la maladie. « Quand elle s’est installée chez moi avec mon père, elle avait perdu au moins 50 livres, mais elle me disait qu’elle ne se sentait pas si malade. C’était difficile pour toute la famille de la voir ainsi, car on savait qu’elle venait à la maison pour mourir. Ma mère, c’était la vie ! Quand elle arrivait quelque part, il se passait toujours quelque chose. C’était un personnage ! Elle déplaçait beaucoup d’air, elle n’avait peur de rien et elle racontait des histoires sans arrêt. Quand elle a vu l’oncologue Aryan Abab [pour la première fois], elle lui a dit qu’elle ne voulait pas perdre ses cheveux. Il lui a dit que ce n’était pas un problème pour la chirurgie palliative. Ma mère avait baptisé son cancer Antoine et il avait trouvé ça drôle ! (rires) Il lui a finalement proposé une chimio curative, ce qui impliquait la chute de ses cheveux. Et elle a accepté ! C’est comme ça que le lien de confiance a commencé, et ça a duré presque quatre ans avec lui », ajoute-t-elle. 

Elle est d'ailleurs restée avec sa mère jusqu'à la fin. « Quand on est en fin de vie, on dort presque tout le temps. Elle pouvait parfois dormir 24 heures d’affilée. Après que nous avons admis ma mère aux soins palliatifs, je suis restée avec elle 25 jours, jusqu’à sa mort. »

Lisez toute la bouleversante entrevue en cliquant ici

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Source: 7 Jours