Julie Bélanger est une animatrice adorée des Québécois! En effet, en plus d'avoir animé de nombreuses années à la radio, on peut la retrouver aussi dans nos télévisions! Elle co-anime entre autres l'émission Ça finit bien la semaine avec Jean-Michel Anctil depuis quelques années. Ainsi, elle passe en entrevues de nombreuses célébrités du Québec avec son ami humoriste, et cela donne toujours un bon «show»!
Puisque la saison actuelle de Ça finit bien la semaine vient de se terminer, Julie a officiellement davantage de temps libre pour se consacrer à d'autres projets.
Ainsi, c'est avec plaisir qu'on a pu découvrir son nouveau projet, une nouvelle série documentaire.
Cette série se nomme Imparfaite, et traite de sujets sensisbles tels que la dépression, la thérapie, la non-maternité, etc.
Cette semaine, Julie Bélanger s'est ouverte au magazine 7 jours pour parler de sa série et de nombreux enjeux importants. Elle s'est ouverte sur ce qui l'a poussé à aller en thérapie la première fois. Voici ce qu'elle a répondu, lorsqu'on lui a posé la question:
«L’épuisement professionnel. C’était en 2008. Ça fait donc 15 ans. J’ai organisé un party de filles et, ensemble, nous revenons sur les bienfaits de la thérapie. Dans le troisième épisode, nous parlons de non-maternité. Mon chum, qui préfère l’ombre, a accepté de parler à la caméra. Je trouvais ça intéressant d’avoir son point de vue en tant que conjoint.»
Elle s'est aussi ouverte à propos de sa reconnaissance d'avoir pu aller en thérapie:
«Je ne sais pas dans quel état je serais aujourd’hui... J’en serais peut-être à mon quatrième burnout. Nous avons tous un coffre d’outils, mais vient un moment où on l’a épuisé. C’est le temps d’aller vers quelqu’un qui nous montrera une autre façon de voir la vie pour évoluer. Je suis une grande adepte de la thérapie! »
Encore aujourd'hui, elle apprécie la thérapie. Elle a effectué une thérapie sur le pardon il y a très peu de temps.