Le comédien Daniel Thomas a sauvé un jeune homme de 21 ans d'une noyade certaine, dimanche

Le comédien Daniel Thomas a joué les héros, dimanche, alors qu'il a sauvé un jeune homme de 21 de la noyade, dans la rivière Jacques Cartier. Le Journal de Montréal raconte l'histoire de Jonathan Fontaine qui est passé à deux doigts de perdre la vie, mais qui a été secouru in extremis par le comédien qui se trouvait à proximité.

Le Journal rapporte que Daniel Thomas se trouvait à Saint Gabriel de Valcartier, sur le bord de la rivière Jacques Cartier, pour profiter du soleil et se baigner tranquillement. Pas très loin de lui, se trouvait un groupe de jeune qui étaient réunis pour pêcher. Au moment où ils ont décidé de changer d'emplacement de pêche, Jonathan Fontaine a été pris de cours par une pente abrupte. Deux de ses amis ont été en mesure de se sortir de cette délicate situation, mais Jonathan s'est mis à couler, en raison du poids de son équipement de pêche et de ses vêtements mouillés. 

C'est alors qu'il a crié à l'aide et que le comédien, qui a travaillé comme sauveteur pendant plusieurs années, a compris qu'il s'agissait d'une situation urgente. Il se trouvait alors à une cinquantaine de mètre du jeune homme et il a été en mesure de le sortir brièvement de l'eau pour lui donner une veste de flottaison.  

«Une fois à une certaine distance, j’ai lancé la ceinture. Il s’est mis à me remercier et je l’ai ramené à la rive. Ce qui était impressionnant et qui m’a fait réaliser qu’il ne niaisait pas, c’était son teint. Il était gris-vert. C’était troublant, je n’avais jamais vu ça. Il m’a dit qu’il était rendu au point où il pensait qu’il allait mourir», a raconté Daniel Thomas lorsqu'interrogé par le Journal de Montréal.

Une histoire qui nous rappelle qu'il faut toujours être extrêmement prudent lorsqu'on profite de l'un des magnifiques cours d'eau de la province. On ne prend jamais trop de précautions et un accident est si vite arrivé. Mais heureusement pour Jonathan Fontaine, un véritable héros se trouvait proche de là.

On vous suggère fortement de lire le texte en intégralité sur le site du Journal de Montréal.